Six ans jour pour jour après le fameux mardi 11 septembre 2001, des centaines de questions restent sans réponses. En voici quelques-unes :
1° - Où est passé l’avion censé s’être crashé sur le Pentagone ? Comment a-t-il pu se volatiliser purement et simplement ?
2° - Comment se fait-il que les restes du quatrième avion, le vol United 93, qui s’est crashé en Pennsylvanie, aient été retrouvés à plusieurs kilomètres à la ronde, alors qu’il était censé s’être écrasé d’un seul coup sur un champ ?
3° - Comment et pourquoi la troisième tour – le World Trade Centre Building 7 (aussi nommé le Salmon Brothers Building) s’est-elle écroulée en 6,6 secondes, le 11 septembre à 17 h 20 ? Elle n’a été frappée par aucun avion.
4° - Comment les infrastructures d’acier des deux tours ont-elles pu fondre alors que l’acier atteint son point de fusion à 1480° mais que le kérosène n’atteint, en brûlant, que la température de 820° ?
Tant qu’une réponse satisfaisante ne sera pas apportée à ces questions – et à beaucoup d’autres -, la version officielle du 11 septembre restera du domaine des contes et légendes du XXIème siècle.
Bonne semaine, quand même !
Que la Force de l’esprit soit avec vous !
1° - Où est passé l’avion censé s’être crashé sur le Pentagone ? Comment a-t-il pu se volatiliser purement et simplement ?
2° - Comment se fait-il que les restes du quatrième avion, le vol United 93, qui s’est crashé en Pennsylvanie, aient été retrouvés à plusieurs kilomètres à la ronde, alors qu’il était censé s’être écrasé d’un seul coup sur un champ ?
3° - Comment et pourquoi la troisième tour – le World Trade Centre Building 7 (aussi nommé le Salmon Brothers Building) s’est-elle écroulée en 6,6 secondes, le 11 septembre à 17 h 20 ? Elle n’a été frappée par aucun avion.
4° - Comment les infrastructures d’acier des deux tours ont-elles pu fondre alors que l’acier atteint son point de fusion à 1480° mais que le kérosène n’atteint, en brûlant, que la température de 820° ?
Tant qu’une réponse satisfaisante ne sera pas apportée à ces questions – et à beaucoup d’autres -, la version officielle du 11 septembre restera du domaine des contes et légendes du XXIème siècle.
Bonne semaine, quand même !
Que la Force de l’esprit soit avec vous !
2 commentaires:
Tout est cafouillis et cachotteries dans cette affaire pourtant importante mais au combien rocambolesque si elle n’était pas tragique. On a des versions approximatives de la part des militaires. De la rétention de boîtes noires et de vidéos de surveillance de la part du FBI. Et un silence consternant des médias, Al jazeera en perdition compris, sauf en Allemagne en ce 11 septembre 2007 (mais avec un documentaire confondant bizarrement les vidéos de deux suspects à Portland avec celles, non datées, de Washington, etc). On peut faire comme Griffin l’aime si bien : taper sur Bush, Cheney, et les militaires, qui ne sont pas des flèches et seraient plutôt les cibles favorites d’un public naturellement frondeur. Mais Bush a peut-être raison de se plaindre d’avoir eu à éprouver des problèmes de communication. Et il a pu y avoir du mou entre la FAA et le NORAD. Il semblerait que finalement, les chasseurs partis intercepter ne savaient pas vers où se diriger… La faute à la loi de Murphy ou à un sabotage au sein de Ptech et de MITRE ?
Au Pentagone, on a déjà pas mal de photos de débris colorés. On a aussi un rotor, mais trop petit. A mon avis, le Pentagone nous montrera un jour des images d’un avion d’American Airlines, mais de loin et avec de petites retouches sur l’emplacement des moteurs. Il faut s’y attendre.
En Pennsylvanie, comme le crash était en piqué, il ne reste que des petits morceaux éparpillés plus un moteur seulement (au dire de quelques témoignages). Mais les confettis étaient en effet trop dispersés et je ne crois pas qu’une partie de l’avion ait rebondi en l’air avant d’exploser.
A moins – oooh oui ! –, à moins que le fameux cutter en plastique jaune retrouvé intact ait découpé une partie de la carlingue lors d’un ultime virage…
Reste l’hypothèse du dégommage en règle par un missile sur ordre de Cheney depuis le bunker de la maison blanche. Pourquoi n’en est-il pas fier ? on ne le sait.
Dans le premier crash contre les tours monozygotiques, on peut deviner la main d’un missile, mais incorporé à l’avion. A cause de ce flash blanc émis longtemps avant l’explosion (ce n’est pas comme au Pentagone où certains avancent l’hypothèse que l’aluminium du fuselage percutant le mur renforcé à des centaines de degrés s’est volatilisé en oxyde d’aluminium blanc, mais bon, la paroi en verre du WTC n’a pas retenu l’avion à l’extérieur comme au Pentagone, ce qui a entraîné une explosion à l’intérieur du bâtiment et non contre la façade).
Pourquoi les tours n’ont-elles pas tenu ? J’observe que certains spécialistes en protection incendie, Vincent Dunn et James Quintiere, avancent que les protections incendies avaient été rénovées sur trente étages de la tour Nord, juste aux étages visés, et remises aux normes avec une épaisseur de 40 mm au lieu de 12,7 à 19 mm précédemment. Celon eux, c’est ce qui explique que la tour Nord se soit effondrée après la deuxième.
On peut aussi imaginer le rôle joué par un combustible puissant, genre aluminium appauvri de missile au niveau du crash, voire thermite en bas – ce qui reportait la charge sur la structure périphérique fragilisée.
Pour la tour Sud, le flocage anti-incendie était resté à 12,7 ou 19 mm et des images de 2007 du documentaire de la BBC et de ZDF (9/11 Myth and Truth, réalisé par Mike Renz, Guy Smith, rédigé par Mike Rudin et Paul Amberg) montrent que les rivets soutenant les planchers n’étaient plus protégés. Les responsables du Port Authority n’avaient longtemps eu que faire des recommandations des pompiers pour le périmètre – petites combines pour détourner de l’argent comme cela est si courant dans le bâtiment ou les infrastructures routières (la chaussée du périph de Moscou est moins large que prévu de quelques centimètres, si bien que des millions de roubles ont atterri dans quelques poches). Leur responsabilité est donc lourde dans la mort de plus de six cents personnes dans cette tour.
Le mystère de la tour 7 reste à mes yeux entier. Pourquoi s’est-elle effondrée comme des boîtes de conserve à la foire, et si tardivement ? Une hypothèse parmi d’autres : on a dû prendre le temps de compléter le dispositif de démolition contrôlée.
Il existe des dizaines de vidéos, notamment Loose Change, qui donnent des réponses à plusieurs des questions que vous vous posez, et notamment également celles où l'on voit ce qui restait des piliers des grandes structures centrales des deux tours coupées à la même hauteur et selon le même angle : la signature d'une démolition contrôlée par de la thermite.
Quant au Pentagone, imaginer qu'un avion ait pu passer par une brèche d'environ trois mètres de diamètre
a à peu près autant de crédibilité que la parole de l'évangile où il est question d'un chameau passant par le chas d'une aiguille.
Mais il existe dans cette affaire un autre mystère, peu abordé dans la presse et par les détectives amateurs: qu'est devenue la masse de lingots d'or entreposés dans les sous-sols de l'une des tours et comment se fait-il qu'un semi-remorque plein de lingots a été retrouvé dans un tunnel reliant les tours jumelles et la tour7 .Un déménagement n'avait donc pas eu le temps d'être mené à son terme par des personnes qui, pour le moins, étaient au parfum de la suite des événements. Cette tour 7 ne s'est donc peut-être pas effondrée simplement de tristesse ou par empathie ...
Voilà, me semble-t-il, une piste intéressante à explorer .
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