mardi 7 septembre 2010

N° 131 - L’immigration ou les retraites, il faut choisir

Les Français – et les Européens – vont devoir enfin se décider à faire un choix, entre l’immigration et les retraites.
C’est simple : si on continue à fermer les frontières, il y aura pénurie de main d’œuvre, donc de cotisations. Et les Français « de souche » devront cotiser non plus 40, mais 50, 60 et 80 annuités.
Moi qui vous dis ça, ce n’est pas mon problème : dans mon marigot, il n’y a pas de caisse de retraite et ce sont les jeunes caïmans qui prennent en charge les vieux.
Et dans mon marigot, nous n’avons pas d’État.
C’est pour ça qu’on est heureux et qu’on contemple l’agitation humaine avec un mélange de tristesse et de jubilation intime.
Quant à votre Président, s’il continue comme ça, il va finir dans un charter pour sa Hongrie d’origine. Le nom Sarközy est en effet clairement d’origine rrom (tsigane, si vous préfèrez).

Allez Besson, Hortefeux et Lellouche, soyez généreux, donnez-lui une prime de retour de 300 €. Comme ça, il pourra se payer des cours accélérés de violon pour se recycler avec sa chanteuse comme musicien dans les rues de Budapest. Il fera un tabac !
Bonne semaine, quand même !
Que la Force de l’esprit soit avec vous !
...et à mardi prochain !

PS : À la question, posée, en février 2009 à Ouagadougou, si elle envisageait une carrière politique, Carla avait répondu : "C'est comme si je vous demandais si demain vous pouvez devenir violoniste. Même si vous en avez envie, je ne suis pas sûre que vous réussirez. Ce n'est parce qu'on a épousé un violoniste qu'on peut jouer dans l'orchestre"...

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