Et ce pays, chers amis, s'appelle Israël. Voici ce qu'on peut lire sur le site web du plus grand journal israélien. Je vous jure que je ne l'ai pas inventé. je vous donne même la source : vous pourrez aller vérifier par vous-mêmes ! http://www.tlaxcala.es/pp.asp?reference=4788&lg=fr
TITRE : Pas besoin de les tuer
SOUS-TITRE : Des mesures non-létales désorganisant la vie à Gaza sont peut-être la solution
SOUS-TITRE : Des mesures non-létales désorganisant la vie à Gaza sont peut-être la solution
" Si le Hamas amène 250.000 Israéliens à se ruer dans les abris anti-bombes, il pense qu’il a gagné. Et si nous tirons sur le Hamas et que des enfants et des civils sont tués, le Hamas a encore gagné. Enfin, la constitution d’une commission d’enquête sur ces faits serait un troisième échec pour nous. Le Hezbollah a bien compris cette stratégie en trois étapes, et maintenant c’est le Hamas qui y a recours.
Comment gagner, alors ? En changeant radicalement notre façon d’appréhender les trois problèmes cités plus haut.
Qui a gagné les guerres du passé ? Ceux qui sont arrivés sur le champ de bataille avec de nouvelles technologies. La poudre à canon, le blindé chenillé, ou encore la bombe atomique, par exemple. Autrement dit, celui qui gagne, c’est celui qui change l’état des lieux et bat les cartes, celui qui introduit un élément nouveau et inconnu dans la guerre.
L’armée israélienne est capable de détruire complètement la bande de Gaza, mais elle ne peut pas le faire, parce qu’on ne peut pas tuer la population civile. Bien sûr, le Hamas en profite, et avec un cynisme cruel, il prend la population de Gaza en otage. Les vieux, les femmes et les enfants, voilà la profondeur stratégique des dirigeants terroristes. Sans la masse palestinienne, le terrorisme ne pourrait pas exister.
Alors j’ai une idée, qui pourrait être mise en œuvre parallèlement aux opérations actuelles de l’armée. Chaque fois qu’un missile est tiré, Israël riposte en direction de la population civile, en utilisant des armes non mortelles.
Des canons à gaz lacrymogènes arroseraient la totalité de la bande de Gaza, à un rythme croissant. Des enceintes géantes, diffusant des sons terrifiants –sirènes, hurlements, bruits d’explosions- d’abord pendant 10 minutes, puis 15 minutes, et enfin pendant des heures. On pourrait y ajouter de la musique israélienne, ou des slogans du type « Tout ça, vous le devez au Hamas ». Ce serait une sorte de campagne de lavage de cerveau, sans cesse renouvelée, avec des niveaux sonores interdisant une vie humaine.
Qu’on les peigne en rouge
Quand les Palestiniens tiennent des meetings de masse, des avions épandraient de la peinture rouge sur des milliers de partisans du Hamas. « Pourquoi de la peinture rouge ?”, demandera-t-on, et cela permettra de populariser le système d’alerte aux missiles en cours de développement pour nos villes de Sderot et Ashkelon, qui porte le nom de code “Couleur Rouge”.
Bien entendu, il faudra accompagner ces mesures d’un désengagement complet de Gaza : au minimum, il faut couper l’approvisionnement en fioul fourni par une société israélienne de droit privé, ainsi que la monnaie en shekels que des camions apportent tous les mois.
D’après moi, après dix jours d’un tel régime, quand les habitants de Gaza auront été privés de sommeil, qu’ils auront eu les yeux brûlés par les lacrymogènes, que leurs oreilles bourdonneront et qu’ils se retrouveront peints en rouge, ils s’emploieront eux-mêmes à empêcher tout tir de roquettes vers Israël.
Ce qu’il y a d’original avec mon idée, c’est que personne ne pourrait accuser Israël, parce que c’est le Hamas qui porterait la responsabilité de déclencher, à chaque fois qu’il tire une roquette, les représailles en question. Et s’il y a des protestations de l’étranger, on pourra répliquer qu’Israël ne tue pas, et ne fait qu’utiliser des matériels bien connus de maintien de l’ordre.
Chaque roquette tirée, et actuellement il y en a des dizaines tous les jours, causera des désagréments sans fin aux Palestiniens. Comme cela au moins, les roquettes du Hamas toucheront aussi la population palestinienne."
Comment gagner, alors ? En changeant radicalement notre façon d’appréhender les trois problèmes cités plus haut.
Qui a gagné les guerres du passé ? Ceux qui sont arrivés sur le champ de bataille avec de nouvelles technologies. La poudre à canon, le blindé chenillé, ou encore la bombe atomique, par exemple. Autrement dit, celui qui gagne, c’est celui qui change l’état des lieux et bat les cartes, celui qui introduit un élément nouveau et inconnu dans la guerre.
L’armée israélienne est capable de détruire complètement la bande de Gaza, mais elle ne peut pas le faire, parce qu’on ne peut pas tuer la population civile. Bien sûr, le Hamas en profite, et avec un cynisme cruel, il prend la population de Gaza en otage. Les vieux, les femmes et les enfants, voilà la profondeur stratégique des dirigeants terroristes. Sans la masse palestinienne, le terrorisme ne pourrait pas exister.
Alors j’ai une idée, qui pourrait être mise en œuvre parallèlement aux opérations actuelles de l’armée. Chaque fois qu’un missile est tiré, Israël riposte en direction de la population civile, en utilisant des armes non mortelles.
Des canons à gaz lacrymogènes arroseraient la totalité de la bande de Gaza, à un rythme croissant. Des enceintes géantes, diffusant des sons terrifiants –sirènes, hurlements, bruits d’explosions- d’abord pendant 10 minutes, puis 15 minutes, et enfin pendant des heures. On pourrait y ajouter de la musique israélienne, ou des slogans du type « Tout ça, vous le devez au Hamas ». Ce serait une sorte de campagne de lavage de cerveau, sans cesse renouvelée, avec des niveaux sonores interdisant une vie humaine.
Qu’on les peigne en rouge
Quand les Palestiniens tiennent des meetings de masse, des avions épandraient de la peinture rouge sur des milliers de partisans du Hamas. « Pourquoi de la peinture rouge ?”, demandera-t-on, et cela permettra de populariser le système d’alerte aux missiles en cours de développement pour nos villes de Sderot et Ashkelon, qui porte le nom de code “Couleur Rouge”.
Bien entendu, il faudra accompagner ces mesures d’un désengagement complet de Gaza : au minimum, il faut couper l’approvisionnement en fioul fourni par une société israélienne de droit privé, ainsi que la monnaie en shekels que des camions apportent tous les mois.
D’après moi, après dix jours d’un tel régime, quand les habitants de Gaza auront été privés de sommeil, qu’ils auront eu les yeux brûlés par les lacrymogènes, que leurs oreilles bourdonneront et qu’ils se retrouveront peints en rouge, ils s’emploieront eux-mêmes à empêcher tout tir de roquettes vers Israël.
Ce qu’il y a d’original avec mon idée, c’est que personne ne pourrait accuser Israël, parce que c’est le Hamas qui porterait la responsabilité de déclencher, à chaque fois qu’il tire une roquette, les représailles en question. Et s’il y a des protestations de l’étranger, on pourra répliquer qu’Israël ne tue pas, et ne fait qu’utiliser des matériels bien connus de maintien de l’ordre.
Chaque roquette tirée, et actuellement il y en a des dizaines tous les jours, causera des désagréments sans fin aux Palestiniens. Comme cela au moins, les roquettes du Hamas toucheront aussi la population palestinienne."
Dessin de Carlos Latuff
Bonne semaine, quand même !
Que la Force de l’esprit soit avec vous !
...et à mardi prochain !
Que la Force de l’esprit soit avec vous !
...et à mardi prochain !
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