À Messieurs
José Luis Rodríguez Zapatero, Président du gouvernement,
Alfredo Pérez Rubalcaba, ministre de l’Intérieur,
Francisco Javier Velázquez, directeur général de la Police et de la Garde civile,
Madrid
Espagne
Messieurs,
Vous venez d’exécuter des ordres venus de Bogotá en procédant à l’arrestation de Madame María Remedios García Albert, que vos services ont présentée comme une « terroriste », « représentante des FARC en Europe».
Vous avez agi sur les ordres du Général Óscar Adolfo Naranjo Trujillo, alias Óscocar, chef de la narcopolice colombienne, et homme fort du narcogouvernement de votre collègue Álvaro Uribe, au sein duquel il coordonne le « travail » des cartels de la cocaïne et de la DEA US dans le cadre du « Plan Colombie ».
Messieurs,
Ce faisant vous avez mis les doigts dans un engrenage dangereux. En déclarant la guerre à la résistance populaire colombienne, vous mettez en danger la vie et la sécurité de centaines de milliers de touristes et d ‘expatriés espagnols, qui courent désormais le risque d’être capturés par des groupes de guérilla aux quatre coins de la planète, de Banjul à Manille et de Valparaiso à Stockholm.
Messieurs,
Ce faisant, vous hypothéquez l’avenir des relations entre l’Espagne et son ancienne colonie de la Nouvelle-Grenade. Demain, Maria Remedios sera ministre dans un gouvernement de la Nouvelle Colombie et elle risque fort de vous garder quelque rancune pour l’avoir traitée en terroriste.
Messieurs,
Il n’est pas trop tard pour réparer l’irréparable : vous pouvez donner l’ordre aux juges qui vous obéissent au doigt et à l’œil de remettre en liberté María Remedios García Albert et lui accorder l’asile politique, afin de lui permettre d’effectuer son travail diplomatique en toute sécurité.
Faute de quoi…
Vous ne pourrez pas prétendre ne pas avoir été prévenus.
Atentamente,
José Luis Rodríguez Zapatero, Président du gouvernement,
Alfredo Pérez Rubalcaba, ministre de l’Intérieur,
Francisco Javier Velázquez, directeur général de la Police et de la Garde civile,
Madrid
Espagne
Messieurs,
Vous venez d’exécuter des ordres venus de Bogotá en procédant à l’arrestation de Madame María Remedios García Albert, que vos services ont présentée comme une « terroriste », « représentante des FARC en Europe».
Vous avez agi sur les ordres du Général Óscar Adolfo Naranjo Trujillo, alias Óscocar, chef de la narcopolice colombienne, et homme fort du narcogouvernement de votre collègue Álvaro Uribe, au sein duquel il coordonne le « travail » des cartels de la cocaïne et de la DEA US dans le cadre du « Plan Colombie ».
Messieurs,
Ce faisant vous avez mis les doigts dans un engrenage dangereux. En déclarant la guerre à la résistance populaire colombienne, vous mettez en danger la vie et la sécurité de centaines de milliers de touristes et d ‘expatriés espagnols, qui courent désormais le risque d’être capturés par des groupes de guérilla aux quatre coins de la planète, de Banjul à Manille et de Valparaiso à Stockholm.
Messieurs,
Ce faisant, vous hypothéquez l’avenir des relations entre l’Espagne et son ancienne colonie de la Nouvelle-Grenade. Demain, Maria Remedios sera ministre dans un gouvernement de la Nouvelle Colombie et elle risque fort de vous garder quelque rancune pour l’avoir traitée en terroriste.
Messieurs,
Il n’est pas trop tard pour réparer l’irréparable : vous pouvez donner l’ordre aux juges qui vous obéissent au doigt et à l’œil de remettre en liberté María Remedios García Albert et lui accorder l’asile politique, afin de lui permettre d’effectuer son travail diplomatique en toute sécurité.
Faute de quoi…
Vous ne pourrez pas prétendre ne pas avoir été prévenus.
Atentamente,
Depuis un marigot du Sud de la planète,
Sous-commandant Ayman
FARK (Forces armées révolutionnaires kaymaniennes)
Bonne semaine, quand même !
Que la Force de l’esprit soit avec vous !
...et à mardi prochain (ou plutôt le suivant) !
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